Friday, 8 October 2010

LÀ NUIT ARRIVE, UN UN, ELLE DIT.

PRENDS-MOI COMME MIL SERVIETTES, REGARD MOI, J´AI LE SOURIR D´UN SOUVENIR.

Les règles de savoir-vivre demandent qu'on utilise sa serviette avant de porter son verre à la bouche...

PEUT ETRE UN VERRE THE WONDER WHY OU MEMME UN VERRE OF A TIME I´VE CREAT TO MOVE YOU TO SOME PLACE...

ELLE WONDER WHY LE DINER EST UN EXPENSIVE TASTE

 «... les termes de « politesse » et de « savoir-vivre » peuvent être considérés comme des synonymes et définis comme « un ensemble de règles proposant des modèles de conduite adaptés aux différentes situations sociales et distances entre c´est quoi ça et NGR...
... en effet, l'usage et les dictionnaires les définissent parfois de façon différente, mais pas tous de la même façon. Si bien qu'en mettant côte-à-côte les différentes définitions, on peut indifféremment utiliser l'un des deux termes pour une même définition.
Pourtant, les deux mots continuent de coexister et cela s'explique par le côté ambigu de l'image véhiculée par la politesse (ou le savoir-vivre). D'un côté, la politesse est ressentie comme un acte de convivialité et de respect nécessaire ; et d'un autre comme une hypocrisie qui pousse à faire semblant : d'être content de rencontrer ses partenaires, de les trouver intéressants, de trouver belles les femmes, d'être satisfait du cadeau qu'on reçoit ou du repas qu'on vous sert, etc.

La politesse véhicule donc à la fois une image très positive et une image très négative. Conserver deux termes différents permet de séparer ces deux pôles et de reporter sur l'un les aspects positifs et sur l'autre les aspects négatifs. Ainsi, pour certains moralistes ou certains dictionnaires, le savoir-vivre n'est qu'un ensemble de règles désuètes, artificielles et circonscrites dans le milieu bourgeois alors que la politesse est fondée sur le respect et la reconnaissance des autres. On trouve toutefois le contraire chez d'autres auteurs.
Historiquement, le clivage entre ces deux termes a également existé entre les mots de « civilité » et de « politesse ». Aujourd'hui, le terme de civilité n'est plus utilisé, mais son contraire, l'« incivilité », revient en force. Selon les situations et le contexte, on lui oppose la politesse ou le respect (mot qui fait actuellement une percée pour représenter l'aspect positif de la politesse ou du savoir-vivre).
Les manuels qui présentent les règles en usages utilisent quasi-unanimement le terme de « savoir-vivre ».
Le civisme est la traduction du savoir-vivre dans le domaine politique.
Selon François Ascher, la civilité est la "capacité d'observer des convenances, de bonnes manières en usage dans un groupe social". Il décline même le terme en civilité riche et civilité minimale (cf. Métapolis ou l'avenir des villes,

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